Lorsque les conditions atmosphériques ne permettent plus de travailler, il est nécessaire de gérer les heures perdues de manière à ce que la perte financière soit réduite au maximum, tout en respectant les règles en vigueur.

Lorsque la période d'arrêt est relativement courte (moins d'une semaine), il est possible d'adapter le calendrier de travail. Les heures perdues seront prises en compte et leur rattrapage planifié. Cependant, des règles très précises sont définies à l'art. 28 CN.

Lorsque la période est plus longue, il est judicieux de recourir au chômage technique en cas d'intempéries. La brochure éditée par le Département fédéral de l'économie, de la formation et de la recherche répondra certainement à vos interrogations.